Très grande salle de cinéma... pardon de théâtre !
A bientôt pour le petit théâtre de ^poche... au boulevard des Italiens !
Très grande salle de cinéma... pardon de théâtre !
A bientôt pour le petit théâtre de ^poche... au boulevard des Italiens !
Et une vue du Château où à ma première visite le guide présenta une ceinture de chasteté.
Et à la deuxième en me désignant : pour monsieur ici présent... et me voila malgré moi sur le devant de la scène !Jaurais pu chanter :
Partant pour la croisade
Un seigneur fort jaloux
jalous de son honneur
deson titre d'époux
Fitfaire une ceinture au
solide fermoir
qu'il attacha lui même à sa femme un beau soir !
Mais la belle se fit tout de même la belle !
Passage difficile pour revenir en ville
Nos nombreux passages il y a un demi-siècel -déjà ! - n'ont pas usé ces marches. Remises des prix, bal pour soutenir le Foyer Laïque, et même réunion politique où j'entendis un ancien député très sympathique me déclarer en aparté : jamais je ne pensais à la députation !
Différent quand ils ont connu le pouvoir !
Et voici ce nouveau centre culturel ! Termes dithyrambiques pour le désigner dans les médias : rien à envier au " Palais des arts à Vannes, et même aux plus belles salles de Paris ! Mais Luis dans cette salle de 802 places - deux réservées pour nous en 2010, pardon je blague ! - eût fait exploser le public !
J
Que j'aurais aimé réentendre la voix de Luis Mariano. Hélas je suis presque sourd et les sons se déforment !
C'était l'ancienne entrée.
Il pleuvait... et ma vue baisse !
A droite, c'était déjà le nouveau centre culturel. Décoiffé par une violente tempête ?
Et veuillez excuser cette présentation dans le désordre, je suis un piètre débutant. Je réclame votre indulgence
Papynet
Elle conserve son secret jusqu'en 2011. Alan et Océane la visiterons. Et depuis longtemps, ce sont des pacifistes et souhaitent ardemment la paix !
Le siège dura plus de 5 mois. La dernière attaque eu lieu contre la tour de la Bridolle (encore debout près de la Poste), en vain. Les murailles aux alentours étaient criblées de boulets de couleuvrines, mais la résistance des assiégés était si acharnée que le duc de Mercoeur leva le siège.
Fou de rage, il exerça une féroce répression sur la population des alentours en se retirant, quelle que soit le camp auquel elle appartenait.
Après son retrait, les “ inhumanités et cruautés ” ne cessèrent pour autant, car, les paysans attirés par l’appât des biens des huguenots, bloquèrent tout le pays.
Enfin, au mois de novembre, 2500 soldats du roi de France viennent en renfort, mais la lutte sera chaude. C’est ainsi qu’à Etrelles, l’un des points chauds du secteur, il y eu 71 morts le 21 novembre 1589.
Alan et Océane dans la lutte
Alan et Océane survécurent au siège de la ville. Océane devint même l’héroïne locale. Voici dans quelles circonstances :
Pour défendre leur vertu mise en péril durant cette époque cruelle, Océane et toutes les femmes de la ville participèrent activement à la défense de la Cité.
Un jour qu’un attaquant trop entreprenant enjambait un ravelin et la serrait de trop près, comme elle tenait un bol à la main, elle lui lança le récipient à la figure. Or, ce bol contenait de la sauce bouillante !
Et personne ne se frotta plus à la bouillante Océane … sauf Alan bien sûr !
Ainsi se termine le récit du siège de Vitré en 1589…
L’Édit de tolérance de Nantes fut signé en 1598.
Réflexions
L’histoire d’Henri IV nous rappelle que la France vient de vivre une partie de son Histoire au travers des guerres de religion.
Elles se sont terminées par un édit de tolérance : celui de Nantes. Les religions vont vivre en paix… hélas, pas pour longtemps
Ce sera beau... plus tard, après les autres traveaux en ville. promoteurs, mécènes, généreux donateurs à la rescousse ? Nul ne connaît l'avenir ?
Amitiés à tous mes lecteurs.
Papynet
Tant qu'il y a de la vie, il ya de l'espoir.
Les grilles seront ouvertes aujourd'hui pour une visite et une bonne promenade en plein air. Bonne marche, c'est gratuit. Venez en masse.... Amitiés. papynet
Si j'ai le courage de grimper la côte, je photographie bientôt le nouveau centre culturel, contient un théâtre de 802 places, construction moderne !.
D'après le canard, il n'a rien à envier au Palais des Lézards de Vannes !
@+
Je pense que ce beau batiment vu en image sur le journal local abritera un jour toute les cultures du monde qui quittera l'abbaye qui ne demande que cela : être un jour livrée aux promoteurs. Encore que la crise actuelle doit refreiner bien des appétits... comme la mienne, mais sur le plan alimentaire !
Allez, quelques belles images de la ville close que nous parcourons en compagnie d'Alan et Océane... en 2010.
Amitiés à tous, affectueusement à toute ma famille.
Papynet
Belles constructions, médiathèques abondammant garnie en lecture, vidéos, informatique facile à consulter... et une plaque qui ne sera peut-être bientôt qu'un souvenir ? Restera cependant l'abbaye !
Les Femmes mènent-elles ce monde ? Louis XIV s'est-il laissé influencer par ses favorites du moment en signant la Révocation de L'édit de Nantes en 1685 ? C'est fort possible.
Cet édit supprimait la liberté de religion en France. Seule fut admise pendant 100ans la religion catholique. Les protestants s'exilèrent, ceux qui en avaient les moyens. Les autres furent forcés de renier leur religion... ou de mourir.
Le couvent des Bénédictins à Vitré servit de prison à de nombreux protestants qui refusèrent de renier leur foi.
à suivre, si ma Destinée le veut !
Papynet
ILes travaux de rénovation sont en cours. Quand seront-ils terminés ? L'avenir vous l'apprendra...
Entrée des Bénédictins.
En rénovation, un travail de longue haleine pour la conservation de l'abbaye des Bénédictins !
Renée
En 1555, en désaccord avec son mari, Renée obtient du Roi Henri III, l’autorisation d’administrer seule ses biens.
En 1556, son mari, le Marquis de Nesles, obtient du pape l’excommunication de sa femme pour “ défaut de mariage avec lui ! ” Qu’à cela ne tienne : elle embrasse la réforme et y entraîne nombre de ses sujets.
Renée décède en 1567.
Au cours de la décennie suivante, les protestants s’implantèrent fortement à Vitré. Et en 1598, quand les guerres de religions cessèrent, Vitré était avec les villes de Blain et de la Roche Bernard, l’une des rescapées bretonne administrée par un pouvoir majoritaire protestant.
Majoritaire ? C'est pourtant une minorité de protestants qui dirigea la ville jusqu'en 1685. Les catholiques, dont les moines des Bénédictins ont-ils subit des exactions durant cette domination ? Aucune idée sur ce sujet.
Et en 1685... ce sera pour la prochaine fois !
à suivre
En 1251, lorsque la baronnie tomba en guernouille, c’est-à-dire sans aucun héritier mâle, Philipette, fille aînée de André III devint baronne de Vitré. Mais, mariée avec Guy VI de Laval, la baronnie de Vitré passa, pour ne plus en sortir, dans l’escarcelle du Comté de Laval.
Et les Guy défilèrent dans l’Histoire, de Guy VI à Guy XX !
Les armoiries demeurèrent stables : des gueules de lions, comme aujourd’hui !
Pendant longtemps, ce fut l’une des 9 baronnies de Bretagne parmi les plus puissantes à la frontière Bretagne- France.
L’un des comtes de Laval, Guy XVII, décéda en 1547, sans postérité. Sa nièce, Renée de Rieux, recueillit sa succession. Elle prit le nom de Guyonne XVIII. Ce fut la première féministe de Bretagne et de France… en compagnie d’Océane, bien sûr !
Ces deux femmes voulaient l’égalité des droits avec les hommes. Ce fut le pape Paul VI qui les en empêcha ! Comment ?
à suivre
En signe d'amitié pour Francine, Nanémiel, Gavroche, Tatarinette et ceux que j'oublie, en attendant la semaine prochaine.
Construite avant 1116, les chanoines aux moeurs dissolues sont remplacés par les moines de l'abbaye bénédictine de Rennes. Entre cette date et 1987, il y a eu beaucoup de changement : 1132, 1157,1658, 1661,1671, 1791, 1840,1855,1913,1925,1987 et ... 2010 !
Alan et Océane revenant des pontons anglais, visitent donc cette abbaye après 1821, soit après la mort de Napoléon 1er
Nous reviendrons la prochaine fois en ...1251 (!) pour ceux qui souhaitent en apprendre un peu plus sur l'Histoire racontée par un historien amateur !
à suivre